[FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
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[FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
Une délicate odeur de pain grillé venait me caresser les narines et commençait à me mettre l'eau à la bouche si bien que, même si le réveil n'avait pas encore sonné, cela me donnait l'envie de me lever malgré que je n'avais pas beaucoup dormit. Et après tout, il fallait bien se lever à un moment ou a un autre. Je commençais à m'étirer et à pousser doucement avec le pied le peu de drap qu'il me restait de cette nuit ou je m'étais retourné dans tout les sens, soucieux du lendemain, quand tout à coup mon chien déboula dans la chambre, sauta sur le lit et commença à me lécher de partout. Essayant de le repousser du mieux que je pouvais cela me permit de me sauver enfin de mon lit qui me retenait depuis toute à l'heure proche du sommeil. C'était un petit fox terrier, un mâle, il était blanc avec des petites taches rousses un peu partout et un poil assez court. Il débordait d'énergie et, prenant exemple sur lui, je retrouvai ma vitalité et ouvrit la fenêtre. Même si je n'avais pas fermé mes volets la veille au soir, donc pas de volets à ouvrir, j'aimais bien au levé faire rentrer la fraîcheur matinale, c'était une sensation plus que revigorante et cela me mettait d'humeur pour la journée.
Je saisis mon portable qui se trouvait sur mon bureau juste à côté de mon lit pour regarder l'heure - sept heure moins quart - le réveil allait sonner dans cinq minutes, je le désactivais donc. Je mis vite-fait un t-shirt et un short traînant par-terre et allais à la cuisine ou m'attendais ma mère qui mangeait déjà. Je pus constater aussi Kurt - mon chien - qui, sans que je m'en rende compte, avait filé entre mes jambes dans ma chambre et en était sorti. Il était couché dans sa panière dans un coin de la pièce, il devait attendre sans doute ses croquettes. Je pris deux pains de mie et les mis immédiatement dans le grille-pain, de ce temps j'allais chercher le beurre salé qui se trouvait dans le frigidaire, je ne pouvais pas manger du beurre sans sel, pour moi il devait être absolument salé. On m'avait déjà dit que ça me donnait un petit côté breton. Une fois les pains prêts je pouvais enfin remplir mon ventre d'adolescent. J'avais 17 ans, j'allais en avoir 18 dans seulement quelques jours. Ma mère - étalant de la confiture sur des biscottes - me disait de me dépêcher et que, même si je m'étais levé plus tôt, je prenais trop mon temps à table.
Je prenais bien mon temps sous la douche, je montais progressivement la température de l'eau tout en pensant aux gens que je n'avais pas vu pendant les vacances, car oui, aujourd'hui c'était la rentrée de septembre. J'utilisais un shampoing pour cheveux bouclés même si je ne les avais pas bouclés mais pour une raison qui m'échappait, c'était celui qui rendait un meilleur résultat. A la sortie de la douche je fis quelques tractions avec la barre qui tenait le rideau de douche, environ une dizaine, pour me mettre en forme. J'étais essoufflé car cela faisait peu-être deux semaines que je n'avais pas bougé du siège de mon bureau, tout le temps scotché à mon ordinateur. Je me séchai vite, m'habillai avec un jean bleu foncé, un t-shirt gris avec une inscription stupide en anglais écrite dessus et ma brossai les dents. Sorti de la salle de bain, je pris mon sac à dos qui se trouvais dans ma chambre, mon portable, et mon casque audio de moyenne qualité. Il était huit heure moins quart, je sorti de chez moi disant à ce soir à ma mère et pris l'ascenseur.
J'habitais au deuxième étage d'un petit immeuble de centre ville. Une fois en bas je pus constater que des marioles s'étaient amusés encore une fois à ouvrir toute les boîtes aux lettres du pallier, cela me faisait doucement sourire car je pensais aux voisins qui allaient encore râler. Le chemin de mon immeuble à mon lycée n'était pas exceptionnellement long pour que je le fasse à pied mais avec la circulation dense on attendait assez longtemps avant de pouvoir traverser la route. Le ciel était à un équilibre parfait entre gris et bleu clair, il y avait très peu de nuages et il faisait frais, assez frais pour que ceux avec un organisme fragile peuvent chopper un rhume mais pas assez pour n’empêcher de sortir que très légèrement habillé.
Je saisis mon portable qui se trouvait sur mon bureau juste à côté de mon lit pour regarder l'heure - sept heure moins quart - le réveil allait sonner dans cinq minutes, je le désactivais donc. Je mis vite-fait un t-shirt et un short traînant par-terre et allais à la cuisine ou m'attendais ma mère qui mangeait déjà. Je pus constater aussi Kurt - mon chien - qui, sans que je m'en rende compte, avait filé entre mes jambes dans ma chambre et en était sorti. Il était couché dans sa panière dans un coin de la pièce, il devait attendre sans doute ses croquettes. Je pris deux pains de mie et les mis immédiatement dans le grille-pain, de ce temps j'allais chercher le beurre salé qui se trouvait dans le frigidaire, je ne pouvais pas manger du beurre sans sel, pour moi il devait être absolument salé. On m'avait déjà dit que ça me donnait un petit côté breton. Une fois les pains prêts je pouvais enfin remplir mon ventre d'adolescent. J'avais 17 ans, j'allais en avoir 18 dans seulement quelques jours. Ma mère - étalant de la confiture sur des biscottes - me disait de me dépêcher et que, même si je m'étais levé plus tôt, je prenais trop mon temps à table.
Je prenais bien mon temps sous la douche, je montais progressivement la température de l'eau tout en pensant aux gens que je n'avais pas vu pendant les vacances, car oui, aujourd'hui c'était la rentrée de septembre. J'utilisais un shampoing pour cheveux bouclés même si je ne les avais pas bouclés mais pour une raison qui m'échappait, c'était celui qui rendait un meilleur résultat. A la sortie de la douche je fis quelques tractions avec la barre qui tenait le rideau de douche, environ une dizaine, pour me mettre en forme. J'étais essoufflé car cela faisait peu-être deux semaines que je n'avais pas bougé du siège de mon bureau, tout le temps scotché à mon ordinateur. Je me séchai vite, m'habillai avec un jean bleu foncé, un t-shirt gris avec une inscription stupide en anglais écrite dessus et ma brossai les dents. Sorti de la salle de bain, je pris mon sac à dos qui se trouvais dans ma chambre, mon portable, et mon casque audio de moyenne qualité. Il était huit heure moins quart, je sorti de chez moi disant à ce soir à ma mère et pris l'ascenseur.
J'habitais au deuxième étage d'un petit immeuble de centre ville. Une fois en bas je pus constater que des marioles s'étaient amusés encore une fois à ouvrir toute les boîtes aux lettres du pallier, cela me faisait doucement sourire car je pensais aux voisins qui allaient encore râler. Le chemin de mon immeuble à mon lycée n'était pas exceptionnellement long pour que je le fasse à pied mais avec la circulation dense on attendait assez longtemps avant de pouvoir traverser la route. Le ciel était à un équilibre parfait entre gris et bleu clair, il y avait très peu de nuages et il faisait frais, assez frais pour que ceux avec un organisme fragile peuvent chopper un rhume mais pas assez pour n’empêcher de sortir que très légèrement habillé.
Dernière édition par loukl le Mer 27 Mai - 21:54, édité 4 fois
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
PAVAY CEASAR
Dernière édition par Findus2 le Mar 26 Mai - 22:48, édité 2 fois
Findus2- Pilier de comptoir (421)
- Messages : 893
Date d'inscription : 13/04/2015
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
Pour l'instant c'est juste un "projet" en gros je peux modifier des passages entiers de la fic ou en supprimer/en ajouter, je ne prend absolument aucun engagement donc ne me demandez pas la suite comme sur la V1 car là j'écrirais quand je veux, et puis donnez vos avis sur le style d'écriture, l'orthographe, etc...
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
Il faut souper.
Findus2- Pilier de comptoir (421)
- Messages : 893
Date d'inscription : 13/04/2015
Jos le pinailleur, le retour de la vengeance ultime.
"Il débordait d'énergie et, prenant exemple sur lui, retrouva ma vitalité et ouvrit la fenêtre."
Donc le chien débordait d'énergie, pris exemple sur lui-même et retrouva TA vitalité et ouvrit la fenêtre avec ses petites papattes :^)
Je retrouvai ma vitalité et ouvrit la fenêtre ^^
Au passé simple, la première personne au premier groupe c'est "...ai" Je vais pas énumérer les fautes de français et d'expression : tu te débrouilles connard ! Et puis on s'en fout c'est plus pour plus tard ^^ L'important c'est le sens de la phrase, et qu'il y ait un "s" à tes conjugaison au passé simple au fond on s'en valek.
Donc le chien débordait d'énergie, pris exemple sur lui-même et retrouva TA vitalité et ouvrit la fenêtre avec ses petites papattes :^)
Je retrouvai ma vitalité et ouvrit la fenêtre ^^
Au passé simple, la première personne au premier groupe c'est "...ai" Je vais pas énumérer les fautes de français et d'expression : tu te débrouilles connard ! Et puis on s'en fout c'est plus pour plus tard ^^ L'important c'est le sens de la phrase, et qu'il y ait un "s" à tes conjugaison au passé simple au fond on s'en valek.
Jos Louarnig- Hé mille Louis
- Messages : 1341
Date d'inscription : 06/04/2015
Localisation : Le Terrier :^)
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
Mais ou veut-il en venir ?
Benguigz- 205 Tuning
- Messages : 350
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
C'est un SOS caché ?
IL FO SAUVER LOUKL
IL FO SAUVER LOUKL
Findus2- Pilier de comptoir (421)
- Messages : 893
Date d'inscription : 13/04/2015
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
Sur ma route défilait toute sorte de personnes, on pouvait évidemment deviner leur classe sociale et leur métier avec leur accoutrement. C'était très varié. Il pouvait passer un fonctionnaire en costard/cravate suivit juste derrière un mec un peu pommé avec des vêtements déchirés dont on aurait mit notre main à coupé que ce soit un drogué. Des sdf faisaient la manche à côté des poubelles d'un kebab pas encore ouvert tandis qu'un homme, cheveux longs, habillé un peu bobo, la vingtaine, envoyait des messages avec son dernier Iphone, ne regardant même pas devant lui quand il marchait. C'était le spectacle habituel que l'on pouvait constater chaque matin. Mais bon, il valait mieux un pays avec des riches et des pauvres qu'un pays qu'avec des pauvres. Je regardais droit devant moi car je n'aimais pas croiser le regard de gens dans la rue, pas par peur, mais juste que je n’appréciais pas cela, de plus j'étais un peu introverti donc cela n’arrangeait rien. Je commençais à apercevoir des élèves sur le trottoir d'en face au loin et me mis à accélérer le pas. Une fois arrivé assez prêt je me mis à traverser, une voiture déboula à toute allure me coupant devant moi, sûrement des terminales qui avaient redoublé, qui faisaient les malins leur permit tout juste obtenu.
Un élève sortant un peu de l'amas devant l'entrée du lycée portant un jogging gris et un t-shirt bleu un peu décoloré attira mon attention. C'était Yassine, il était d'origine algérienne, avait les cheveux noir, courts, les yeux verts, et faisait une demie tête de plus que moi. C'était mon meilleur ami. Il était assez musclé et savait se faire respecter, il avait un physique et un visage qui pouvait attirer facilement une fille, son seul gros défaut était d'avoir un nez assez grand, je le charriais des fois dessus en lui disant qu'il avait un nez de feuj. Il cherchait quelque chose dans son sac à bandoulière noir. Je m’approchais de lui quand il leva la tête de son sac.
<< Tiens Aurel ! te voilà !
-Yo, tu cherches quoi dans ton sac ? Demandais-je en lui serrant la main.
-Je cherche un truc justement pour toi mais je crois que je l'ai oublié dans ma piaule.
-Et c'est quoi ?
-C'est en rapport avec le cadeau que je vais t'offrir la semaine prochaine.
-Je m'attend au pire. Disais-je en riant.
-Ah, trouvé ! Il sorti un grinder orange de son sac.
-Je vois donc !
-Il était sous mes feuilles ce con !
-Du coup c'est plus trop une surprise pour la semaine prochaine.
-Crois-moi, tu vas être très surpris de ce que je t'ai dégoté cette fois ci.
-Comme je te l'ai déjà dit, je m'attend au pire avec toi. >>
La sonnerie retentit, nous suivîmes alors le groupe, bien que nous connaissions déjà le lycée, jusqu'à la coure intérieure. Il fallait traverser le petit hall d'entrée, longer un couloir avec le bureau du cpe, le bureau des pions, le bureau du principal adjoint, l'administration, et la salle d'étude. Pour résumer, il ne fallait pas trop faire les cons dans ce couloir car il y avait toujours quelqu'un pour nous mettre un heure de colle dans le coin. Pour ne pas arranger les choses, le sol de ce couloir était était d'un ton vert et nous l’appelions souvent pour déconner "la seconde ligne verte". Les murs étaient d'un gris terne mais recouverts d'affiches colorées présentant le lycée, les différentes options, filières, etc. Arrivés au bout de ce fameux couloir, une double porte vitrée assez large se trouvait ouverte devant nous.
Yassine et moi nous mires au fond de la coure car c'était les premières et les secondes qui passaient en premiers à l'appel. Pendant une demie-heure nous pûmes discuter tranquillement, on parlait de l'actualité en la tournant en dérision, on ressortait les bonnes vielles blagues qui faisaient toujours rire, je lui expliquais le fonctionnement interne d'armes à feux, il me parlait lui de mécanique de moto. C'était intéressant de voir comme quoi plus les gens étaient vers le devant de la foule d'élèves, plus ils étaient jeunes, et plus ils étaient muets. Yassine et moi avions tout les deux un an de plus que la majorité des autres terminales de cette année, lui car il avait redoublé sa quatrième, et moi car j'avais fait une seconde en bac pro avant de refaire une seconde mais cette fois ci en général. La coure se vidait peu à peu quand ou bout d'un moment le principal commença à appeler les terminales.
Un élève sortant un peu de l'amas devant l'entrée du lycée portant un jogging gris et un t-shirt bleu un peu décoloré attira mon attention. C'était Yassine, il était d'origine algérienne, avait les cheveux noir, courts, les yeux verts, et faisait une demie tête de plus que moi. C'était mon meilleur ami. Il était assez musclé et savait se faire respecter, il avait un physique et un visage qui pouvait attirer facilement une fille, son seul gros défaut était d'avoir un nez assez grand, je le charriais des fois dessus en lui disant qu'il avait un nez de feuj. Il cherchait quelque chose dans son sac à bandoulière noir. Je m’approchais de lui quand il leva la tête de son sac.
<< Tiens Aurel ! te voilà !
-Yo, tu cherches quoi dans ton sac ? Demandais-je en lui serrant la main.
-Je cherche un truc justement pour toi mais je crois que je l'ai oublié dans ma piaule.
-Et c'est quoi ?
-C'est en rapport avec le cadeau que je vais t'offrir la semaine prochaine.
-Je m'attend au pire. Disais-je en riant.
-Ah, trouvé ! Il sorti un grinder orange de son sac.
-Je vois donc !
-Il était sous mes feuilles ce con !
-Du coup c'est plus trop une surprise pour la semaine prochaine.
-Crois-moi, tu vas être très surpris de ce que je t'ai dégoté cette fois ci.
-Comme je te l'ai déjà dit, je m'attend au pire avec toi. >>
La sonnerie retentit, nous suivîmes alors le groupe, bien que nous connaissions déjà le lycée, jusqu'à la coure intérieure. Il fallait traverser le petit hall d'entrée, longer un couloir avec le bureau du cpe, le bureau des pions, le bureau du principal adjoint, l'administration, et la salle d'étude. Pour résumer, il ne fallait pas trop faire les cons dans ce couloir car il y avait toujours quelqu'un pour nous mettre un heure de colle dans le coin. Pour ne pas arranger les choses, le sol de ce couloir était était d'un ton vert et nous l’appelions souvent pour déconner "la seconde ligne verte". Les murs étaient d'un gris terne mais recouverts d'affiches colorées présentant le lycée, les différentes options, filières, etc. Arrivés au bout de ce fameux couloir, une double porte vitrée assez large se trouvait ouverte devant nous.
Yassine et moi nous mires au fond de la coure car c'était les premières et les secondes qui passaient en premiers à l'appel. Pendant une demie-heure nous pûmes discuter tranquillement, on parlait de l'actualité en la tournant en dérision, on ressortait les bonnes vielles blagues qui faisaient toujours rire, je lui expliquais le fonctionnement interne d'armes à feux, il me parlait lui de mécanique de moto. C'était intéressant de voir comme quoi plus les gens étaient vers le devant de la foule d'élèves, plus ils étaient jeunes, et plus ils étaient muets. Yassine et moi avions tout les deux un an de plus que la majorité des autres terminales de cette année, lui car il avait redoublé sa quatrième, et moi car j'avais fait une seconde en bac pro avant de refaire une seconde mais cette fois ci en général. La coure se vidait peu à peu quand ou bout d'un moment le principal commença à appeler les terminales.
Dernière édition par loukl le Jeu 28 Mai - 11:37, édité 2 fois
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
.....Tiens donc il est l'heure de faire un gros dodo et n'oublie pas tes mé-di-ca-ments mon loukl ( )
Findus2- Pilier de comptoir (421)
- Messages : 893
Date d'inscription : 13/04/2015
Re: [FIC] J'ai pas encore trouvé de nom.
Je me demande si c'est pas tes Benguigz, gif, qui font ordinateur mon buguer
Jos Louarnig- Hé mille Louis
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Date d'inscription : 06/04/2015
Localisation : Le Terrier :^)
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