Les histoires du 15-18 & du 18-25
2 participants
Page 1 sur 1
Les histoires du 15-18 & du 18-25
J'ai chié dans un saladier à Auchan
Par MajorHerculos, le 22 juin 2013
Je faisais mes courses tranquillement pour faire le dîner de ce soir vu que je reçevais des amis. Je remplissais tranquillement mon caddie quand soudain, j'ai senti comme une déflagration lointaine et sourde au plus profond de mes entrailles, ce qui ne manqua de faire vibrer tout mon corps.
Je sentais que le barrage allait céder. A tout moment, une brèche pouvait se créer. J'avais beau faire des mouvements respiratoires avec mon anus pour me faire remonter le flot de merde, ça n'avait aucun effet.
J'étais en sueur, j'avais de la fièvre, mal au ventre, j'étais trop mal. Je voulais aller à la caisse, toute pleine sauf une. Je me mis soudainement à accélérer, ce soudain mouvement de translation rectiligne accéléré libéra une petite pépite. J'arrivais à la caisse quand une vieille me passa devant au ras du nez. Dans ma tête, j'explosais mais j'essayais de me retenir. Bref, au moment de payer cette conne commence à sortir un rouleau de coupon de promotion digne d'un paquet de PQ Lotus XXL.
"Excusez-moi mademoiselle, j'avais ces coupons de réduction, pourriez-vous me les déduire de la somme s'il vous plait."
"Mais ils ne sont plus valables madame."
"Ah bon, vous êtes sûrs. Laissez-moi prendre mes lunettes dans mon sac."
J'avais réussi à colmater la brèche et à fermer hermétiquement mon cul pour un moment de répit. Mais la vieille ne daigner se magner le cul.
"Bouffe les tes coupons vieille bique et retourne donc te doigter sur Derrick!" grommelais-je.
Elle se retourna.
"Pardon, c'est à moi que vous parlez jeune homme?"
Putain, je l'attendais de manière trouble et lointaine la vieille, c'était comme si la merde m'était monté au cerveau pour sortir par ailleurs. J'atteignais les 40°C de fièvre, je commençais à voir trouble et je sentais que je perdais le contrôle sur mon sas anal. Discrètement, je me glissais un magazine Télé Z dans mon pantalon pour venir obstruer mon cul qui commencait à sentir des relents de cssoulet et raclette Richemont.
Soudain, il y eut une deuxième déflagration et un pet foireux dont je n'avais même pas soupçonné l'arrivée imminente. Je sentis que la couverture du télé Z avait absorbé en grande partie le choc mais combien de temps avant que le télé Z ne soit entièrement dépassé par les évènements lui aussi. Je me rappelais soudain la face innocente du chien sur la couverture, qui devait à présent être souillé jusqu'à la truffe d'une éruption volcanique :-(
Impossible de rester plus longtemps à cette caisse, trop tard pour fuir, je devais chier et je devais chier dans Auchan au milieu de cette jungle.
Décidé à fuir, je fis demi-tour à l'arrache avec mon caddie un pe utrop rapidement et la roue se coinça soudainement dans la jante de la roue d'un fauteuil roulant.
Pris de panique, je secouais mon caddie comme une brute épaisse pour en dégager la roue qui visiblement rester coincé.
"Mais putain de merde de conne de roue, mais bouge de là toi avec ton bolide! hurlais-je sur l'handicapé moteur.
Ce dernier, effrayé, gémissait de plus en plus fort.
"Euuugneuuu gueugueugneugneu".
"Putain mais ta gueule et aide-moi ducon sinon on court tous à la catastrophe!"
Je secouais mon caddie comme jamais, le fauteuil roulant menacer de se renverser. Les gens, visiblement choqués, s'attroupaient autour de nous.
Une femme arriva subitement.
"Non mais ça va pas! cassez-vous ou j'appelle la sécurité! Vous effrayez ce petit"
Pas le choix, je lâchais mon caddie qui restait tjs coincé dans le fauteuil roulant de l'autre débile et je me barré en courant.
Soudain, je vis un magnifique saladier.
"Pas le choix Herculos, t'as déjà fais du gâteau au chocolat, c'est à peu près la même chose".
Hop, j'attrape le saladier à la vitesse du son et je cours dans le rayon vêtement, me cacher derrière les lignes de pantalon.
Serein, je défis mon pantalon, complètement empêtré dans la merde. Je me mis accroupis, tenant le saladier en réceptacle pour ma pêche. Soudain, j'entendis une voix douce et fine. Deux filles apparurent, magnifique. L'une brune et l'autre châtain. La châtain, Lisa de ma promo
La fille de mes rêves
Un pet foireux m'arrachait soudainement de mes pensées. Hélas, comme dans MGS2 avec les points d'exclamations, les filles furent alertés.
"C'était quoi ce bruit?"
"Je sais pas, ça venait des pantalons."
Impossible de me retenir plus longtemps, je devais les faire fuir sinon j'étais foutu pour la rentrée prochaine. Un deuxième pet, plus long, plus aigu, plus sifflant et plus strident s'éleva. Le problème, c'est qu'il aurait pu rester discret si le saladier n'avait pas agi comme caisse de résonnance. Les filles avaient spotted ma planque. Pas le choix Herculos, désolé Lisa.
Je me saisis de mon pantalon et le jetais au visage de ma tendre aimée. Je ne l'avais pas manqué, le visage souillait, elle ne comprit pas tout de suite. Puis elle hurla, hurla tellement fort que j'en profita pour me vider du gaz accumulé dans le rectum.
Ouf, elles sont parties. Je pouvais enfin en terminer avec cette sordide histoire tout en imaginant déjà le pavé que j'allais pondre sur le 18-25
Alors que mon saladier était déjà à moitié rempli, une petite main tâtonnait les pantalons. Un putain de gosse de merde s'amusait à déplacer les pantalons, menaçant de me révéler u grand jour. Paniqué, je tenais d'une main le saladier tremblant tandis que de l'autre, j'essayais de colmater les brèches que cet enfant persistait à crée. Il se mit à glousser de rire et pensait à un jeu car il augmenta la cadence. J'étais épuisé, le bras à feu. Le saladier tremblait de plus en plus et de ce fait, je commençais à dévier la trajectoire de chute. Je commençais à me chier dans les mains et à chier par terre.
"Mais dégage conard de merdeux.C'est vraiment pas possible de chier en paix? :-(( ".
Bordel, j'arrivais pas à tenir la cadence. Soudain, mes pieds glissèrent sur une trainée par terre, je retombais sur le sol, plein de merde, et je rattrapais le saladier de justesse. Soudain l'innocent enfant me voyait vautré dans ma merde, j'étais paniqué, ma vie était foutu. Je voyais déjà les journaux déformaient la vérité avec leur version:
"Un homme de 20 ans, gourou d'une secte scatophile, cherchait à instruire à un enfant des rites paiens scatophile dans les rayons ésotériques d'un Auchan" :-(
Dans ma tête, je me disais: "pitié ta gueule! n'hurle pas, ne détruit pas ma vie, je suis en fac de cuisine, j'ai de l'avenir "
Soudain, il se mit à hurler, pleurer. Mon seul réflexe a été de lui foutre le saladier sur la tête. Alors que j'allais pour fuir, une silhouette immense apparut:
"Non mais sale pervers de merde, attends tu vas voir."
C'était le père, il essaya de m'attrapa mais glissa et tomba dans la merde où j'étais moi aussi jusqu'au cou.
"Gneeeuuuargll......Raaaahhh putain mais c'est dégueulasse, c'est quoi toute cette merde! :-(( ".
Je pris mon pantalon dans les mains et me mit à courir à travers tout Auchan. Saisissant une laitue bien fournie, j'en profitais pour me torcher avec sous le regard traumatisé de Jean-Pierre Coffe, le vrai l'authentique.
"Mais c'est de la merde! S'exclama t-il soudain alors qu'il reluquait des topinambours. Mais qu'a t-il fait avec cette mignonne petite salade?"
Soudain, il se mit à me poursuivre. J'arrivais à la caisse et j'entendis:
"C'est lui, c'est ce pervers!"
Je voyais le visage de Lisa. Je me mis soudainement à éclater en sanglot alors qque je prenais la fuite, poursuivis par Jean-Pierre Coffe et trois caissiers du Auchan :-(
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Episode 1 :
Episode 2
Par iYoda le 06 octobre 2015
Commentaires
[Cocu] Ma meuf ma trompé sous mon propre toit..
Par iYoda le 04 octobre 2015Episode 2
J'ai couché avec l'amant de ma meuf
(marrant mais pas safe pour tous)Par iYoda le 06 octobre 2015
Commentaires
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Si c'est un fake : Not bad.
Si c'est vrai : encore une preuve flagrante que bien des femelles sont des putes de bas étages. Et après on s'étonne de la montée en flèche de la misogynie...
Si c'est vrai : encore une preuve flagrante que bien des femelles sont des putes de bas étages. Et après on s'étonne de la montée en flèche de la misogynie...
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Quand tu lis l'épisode 2...
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Les fic d'EPolka {Alerte au Pavay : c'était des feuilletons scato, à la base}
septembre 2014
septembre 2014
"La mère de mon pote m'a chié dessus"
- Spoiler:
Ça s'est passé y'a quelque jours. J'étais chez un bon pote, on jouais à la console sur le canap et sa mère repassait des fringues derrière. Un moment je me suis tourné vers elle pour mater sa poitrine et elle m'a à moitié grillé, elle m'a fait un gros sourire, vous savez ce regard attendrissant et rassurant qui veut dire "Ne t'inquiète pas, je comprends, tu es jeune".
Moi je suis devenu rouge comme une tomate et mon pote m'a demandé:
"Qu'est-ce qui t'arrive?"
Forcement j'allais pas lui dire la raison pour laquelle je commençait à avoir une demi-molle.
A ce moment là le voisin est arrivé, il a demandé a mon pote si il pouvait l'aider à monter une armoire sur plusieurs étages. Je l'ai regardé genre "Dis non, dis non, dis non je veux pas rester seul avec ta maman". Il a pas saisit le message et il est partit "Je reviens dans 30 min".
J'étais comme un con sur le canapé et j'entendais les bruits du fer à repasser derrière qui faisait CHII CHIII.
Et puis, de fil en aiguille, ça a dérapé.
Quelques minutes plus tard elle avait terminé de repasser les fringues, elle passe à côté de moi avec son bac de linge et s'arrête en regardant l'écran.
"Et bien, il à l'air sympa ton jeux vidéo"
Je me suis contenté de sourire et j'ai croisé les jambes pour cacher ma futur érection. Maintenant que j'y pense, ça faisait un peu pédé.
"Va-t-en s'il te plait, va t'en" Je pensais.
A mon grand soulagement, elle est partie pour plier le linge.
30 seconde plus tard je sursaute.
Elle était revenu toute contente.
"Je vais venir jouer un peu avec toi. Franklin ne me laisse jamais toucher à sa console, hihihihi"
J'ai pas eu le temps de répondre qu'elle s'est assise très (trop) prêt de moi.
Elle portait une sorte de jupe longue, des chaussures de ménage typique des mères de familles, et un chemisier rose saumon assez décolleté, avec un pendentif en forme de dauphin.
"Alors, apprends moi", ordonna-t-elle
J'ai pensé "Nan, toi, apprends-moi"
"Comment on fait? C'est cette manette?"
Elle était assise à ma droite, la manette était posée a ma gauche.
Quand elle s'est penchée sur moi pour la prendre, j'ai senti ses mamelons effleurer le bout de ma bite à travers mon froc, et j'ai poussé une sorte de petit cri de fillette.
"Oups, excuses-moi. Allez, tu commence, je vais te regarder pour apprendre un peu".
J'arrivais à rien. Pas un seul frag, mes mains tremblaient et je pouvais pas m'empêcher de penser à sa poitrine fournie juste à ma droite. Mes yeux flanchaient toutes les 5 secondes. Et une fois sur deux, elle me grillait.
J'ai poussé un soupir quand la partie était fini. J'étais trempé de sueur.
"C'est stressant ce jeu, tu as l'air tendu"
"Ne me propose pas un massage, par pitié ne me propose pas un massage" je pensais.
"Tu es trempé, tu veux prendre une douche?"
Si elle m'avait proposé un bain, ma bite aurait explosé. Je me suis dit que la douche n'était pas une mauvaise idée, au moins je serais tranquille, je pourrais me branler vite fait et je serais débarrassé.
"Oui, si ça vous dérange pas"
Grossière erreur. Pour aller à la salle de bain il fallait se lever, et j'avais une gigantesque érection.
"Ben alors, tu ne viens pas?"
Elle s'était levée pour m'indiquer le chemin vers la salle de bain, et moi je bougeais pas du canapé, comme un con, je pouvais pas.
Chaque seconde qui passait des années, je savais pas quoi faire.
J'ai fini par trouver une semi solution. Il y avait un coussin avec des broderies à côté de moi et tout en me levant je le tenais stratégiquement devant ma bite.
"Il est joli ce coussin, c'est vous qui l'avez brodé?"
C'est quand j'ai posé cette question que je me suis rendu compte à quel point c'était foireux. Et sa réaction me l'a confirmé.
Elle m'a fait un grand sourire et m'a dit :
"Tu sais, moi aussi j'ai été jeune, je sais ce que tu essaye de faire"
Oh mon dieu, mais de quoi elle parle. J'étais tellement rouge qu'on aurait pu faire cuire un oeuf sur ma joue.
"Tu veux faire une bataille de coussin c'est ça?"
Forcement je m'y attendais pas.
"C'est moi qui frapperait la première !!"
Et la elle a attrapé un autre coussin, et a commencé à me donner des coups avec. Je me défendais pas trop mal, mais je perdais doucement l'avantage. Par une botte secrète, elle m'a désarmé, j'ai basculé contre le pied de la table basse et le seul truc que j'ai trouvé par réflexe pour m'accrocher pendant ma chute fut son chemiser.
Le soutien gorge est parti avec, et je me suis retrouvé sur le dos, à ses pieds. De ce point de vue, elle paraissait gigantesque, et ses seins étaient comme deux grosses pleines lunes dans une nuit sans étoile.
J'étais à terre, elle me dominait, les seins à l'air. Elle avait vu mon érection.
"Petit coquin", me dit-elle.
Le truc que je voulais absolument pas entendre.
Je commençais a basculer pour me lever, mais elle s'avança et me plaqua au sol avec son pied. Je pouvais alors voir sous sa jupe.
Elle ne portait pas de culotte. Soit c'était une grosse salope. Soit elle avait tout prémédité. En fait dans les deux cas c'était une grosse salope. Si ça se trouve elle avait un deal avec le voisin. Tout à fait possible., j'étais en mode Soral.
"Qu'est-ce que vous me voulez?"
Ma voix tremblait. Elle retira son pied de ma poitrine et se mit à genoux. Je pu me lever, et je pensai "Une pipe? y'a pire".
Elle mis sa poitrine en avant, juste devant moi, et me dis:
"Je veux que tu me pisse sur les seins."
OUCH
"Et si je refuse?"
"Si tu refuse, je dis à Franklin que tu as voulu abuser de moi".
La salope. Putain la salope. Salope puissance un million. Jte hais salope. Jte pisse dessus. wait..
J'avais pas le choix. J'ai sortit ma tour de pizz et j'ai pensé aux chutes du niagara.
"Pas ici, dans la baignoire"
J'avais oublié l'importance d'une moquette propre pour une femme au foyer.
Je la suivis comme un toutou jusqu'à la salle de bain.
Une baignoire, c'est assez glauque en fait. Elle s'était mise dedans comme un petite caniche a qui on fait sa toilette. Moi, j'étais debout de l'autre côté, et Je m'apprêtais à uriner sur ses deux pastèques molles.
C'était sûrement sa première golden shower, parce que je du lui faire remarquer que me chatouiller les couilles n'allait pas m'aider à ouvrir les valves. Enfin pas ces valves là.
Les yeux fermés, je pensais à toute sorte de choses qui m'aideraient à pisser. Etrangement, la scène de la voiture dans Titanic eut l'effet escompté, et je commençais à vider ma vessie.
Je l'entendais frissonner de plaisir, et j'avais peur d'ouvrir les yeux.
Elle buvait. Elle buvait la pute.
Le débit était un peu trop fourni pour qu'elle puisse tout ingurgiter, une partie dégoulinait sur ses seins. Elle avait l'air d'adorer ça, elle se touchait en même temps.
Moi j'en croyais pas mes yeux.
Une fois ma vessie vidée, je fermais ma braguette "Ouf, c'est terminé".
"Merci", me dit-elle. "C'était superbe"
C'est cool si t'es satisfaite. Maintenant je vais me casser d'ici et plus jamais revenir.
"Il faut que je te rende l'appareil. Il faut que je te rende hommage".
Ouai mais en fait ducoup non, parce que voilà moi c'est pas mon délire de prendre une dose de pipi sur la gueule, surtout quand les reins ont bien travaillé et que c'est jaune comme du jus de citron. Histoire de faire le malin, je lui dis:
"Non merci, un câlin suffira"
Elle me fit un câlin. Elle était pleine de pisse. Je me sentais vraiment con.
"Maintenant va dans la baignoire."
"Vous voulez pas la qu'on la nettoie avant?"
"Je vais la nettoyer, pour pas mélanger les fluides. Mais tu sera dedans".
Je me suis dis que d'un côté ça changeais pas grande chose. Une pierre deux coups. Quand la mère d'un pote vous menace de vous accuser de viol, faut savoir relativiser.
J'étais allongé, nu dans la baignoire. Elle commença a envoyer l'eau pour nettoyer. C'était très perturbant, je me sentais comme une planche de surf.
Elle se mit a cheval au dessus de moi. Ses jambes écartées au dessus de ma poitrine, sa grosse chatte qui dégoulinait, par réflexe j'ai commencé à me branler.
"Tu as l'air d'aimer ça, je vais te faire la formule numéro 2"
Formule numéro 2. Si j'avais su.
J'attendais patiemment que tout ça se termine. Au pire, c'est rien qu'un liquide chaud. Et puis c'est pratique dans une baignoire, je pourrais me laver juste après.
Sauf que ça prenait du temps. Trop de temps. C'était louche. Et la j'ai compris. Enfin, au début j'ai cru que c'était une erreur de parcours.
"Euh... madame...."
"Oui mon chéri?"
"Madame !!"
Son anus se dilatait dangereusement.
"Quoi qu'est-ce qu'il y a? j'essaye de me concentrer là, soit pro un peu"
"Oui mais madame..."
Soudain je vis le bout du nez. C'était pas une erreur de parcours.
"ALERTE MARRON ALTERTE MARRON !!"
"Mais enfin c'est pas possible ça, tient toi tranquille"
"J'ai pas signé pour ça, c'était pas sur le contrat, on reprend tout à zéro là, time-out, time out"
La MILF a senti que j'allai vouloir m'extirper, elle a forcé un bon coup.
J'ai eu à peine le temps de me redresser de dix centimètres que l'étron chaud m'est tombé sur le bide. Je m'attendais pas à une telle vitesse. Je me suis dis que c'était parce qu'elle avait eu un enfant, elle avait de l'entrainement. Et Je me suis dis que c'était complement con, de penser ça. Ou pas.
Un flot de pisse a suivit pour arroser l"étron, un peu comme une patisserie de luxe dans un restau trois étoiles. Ça l'a fait un peu fondre, et une marée marron-jaune se dispersait sur mon corps.
[epilogue perdu : le pote revient dans l'appartement après que tous soit nettoyé, expliquant que le voisin l'a retenu pour le goûter, et juste avant de partir, il fait un clin d'oeil a l'auteur en lui disant "Elle t'as fait la formule 2, hein?"]
Dernière édition par Louison_Nagant le Jeu 8 Oct - 0:42, édité 2 fois
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Epolka
Septembre 2014
Septembre 2014
La femme de ménage m'a chié dessus
- Spoiler:
Ça s'est passé y'a quelques jours, j'étais chez ma copine et on prenait l'apéro avec ses parents.
Je venais juste de leur montrer le sketch de Dieudo sur les pygmées histoire de faire le buzz, mais personne n'avait rigolé à part moi, le bide total, c'était incompréhensible.
Le père me regardait d'un air dédaigneux, genre
"Sale petit garnement"
Et moi j'étais la genre "Connard plein de chiasse, jsuis sur que tu baise ta femme en chaussette"
C'est partit en débat vite fait et il m'a dit:
"Dis moi petit, ça te dirait d'arrêter de dire de la merde?"
Je sais pas ce qui m'a pris, j'ai rétorqué direct:
"Et toi, ça te dirait que je scie un pied de cette table et que je te sodomise avec?"
Et la c'était le drame. Ils m'ont tous regardé avec des yeux ébahis, je voyais ma vie défiler devant mes yeux... et puis le père a répondu:
"Et ben pourquoi pas."
Et là, forcement, c'est partit en couille.
Je m'attendais pas à ce qu'il accepte, j'avais dis ça comme ça. Du coup il fallait que je trouve une excuse pour me tirer de la.
"Monsieur, pas devant votre femme..."
Il posa sa carte de crédit sur la table et dis:
"Chérie, va t'acheter un aspirateur."
La mère agrippa la carte de crédit du père et en 5 secondes elle était plus là.
"Monsieur je sors avec votre fille, ça se fait pas..."
Et la ma copine:
"Ah non, techniquement on est plus ensemble, je viens de t'envoyer un texto."
Check portable. C'était vrai la chienne.
"Mais pourquoi?"
"On touche pas aux pygmées fdp".
"Enfin quand même c'est votre fille, on va pas faire ça devant elle"
Le père sortit une autre carte de crédit et dis:
"Chérie, va t'inscrire dans une école d'esthéticienne."
La fille agrippa la carte de crédit du père et en 5 seconde elle avait disparue.
"Mais monsieur jvoudrais pas qu'on pense que jsuis pédé..."
"Aucun contact entre les guirlandes, comme sur le sapin."
"What?"
"Le sapin a beaucoup de boules, mais il est hétéro"
Ça n'avait aucun sens mais seems legit fdp.
"Bon, ben jvais chercher la scie."
Le père fut sport et accepta qu'on se relaye pour scier le pied de la table.
La table était faite en palissandre des Indes, un bois de beau veinage sombre sur fond variant du rouge au jaune et au violet, parfois légèrement salpêtreux. Une densité honnête de 0,93 à vue d'oeil, un beau fini. Je m'en voulais un peu de défoncer une beau meuble.
Mais ça à la limite on s'en fout.
Le père s'était mis à quatre pate au milieu du salon, le cul à l'air.
Je me suis muni du pieu (on avait stratégiquement taillé le bout du pied pour faire une rentrée en douceur), et j'ai commencé à embrocher la bête. J'y suis peut-être allé un peu fort, il a bavé.
"Ça va Jean-paul? Je peux vous appeler Jean-Paul?"
"Petit, tu est en train d'enfoncer un pied de ma propre table de salle à manger profondément dans mon cul. Tu peux m'appeler comme tu veux".
"Ok Pupute."
"Nan pas Pupute"
"Trop tard c'est dis. Maintenant tais toi et mange Pupute".
J'arrivais à l'échelon 4 dans la caverne de Pupute quand ça a commencé à dégouliner, un peu comme quand on appuie sur les miel pops avec la cuillère et que le lait déborde. Là c'était pareil, sauf que le lait c'était du caca.
C'est à ce moment là que la femme de ménage est arrivée.
"Mais qu'est-ce que vous faites?? Qui va nettoyer tout ça?"
Un mec est en train de poutrer le derche de ton boss toi tu pense au ménage. Le père et moi on s'est mis à rire.
"Techniquement toi, je te paye pas pour bronzer sur la terrasse Joseta".
Bronze. Le père et moi on a rigolé.
"J'en ai plein de le cul de vos conneries Mr Jean-Paul !"
Plein le cul. Le père et moi on a rigolé.
Joseta est devenu rouge comme un seau de règles, elle s'est avancé pour nous donner une correction. Mais au moment de nous atteindre elle a glissé sur la marre de caca et le père a rigolé.
"C'est marrant parce qu'elle est grosse !"
Si Dieudo était mort il se retournerait dans sa tombe.
"Tu va trop loin Pupute, tu gâche tout là".
Pour le punir je passais à l'échelon 6 sans passer par le 5. Il s'est raidi d'un coup et ses bras se sont tendu vers l'avant comme un chat qui s'étire.
"VA CHERCHER L'PONEY" a crié Pupute.
J'ai mis ça sur le coup de la douleur, mais ça sentait le vécu.
A ce moment la mère est rentré avec son nouvel aspirateur.
C'était un Dyson DC19T2, sans sac, 84 dB, filtre Hepa 12, rayon d'action 10 m, technologie Root Cyclone (aucune déperdition de puissance dans l'aspiration), brosse combinée (sols durs et moquettes), brosse parquet, 1 roue multidirectionnelle, pour plus de maniabilité.
Je sais tu t'en fou mais fermes-là, c'est pas un débat.
La femme de ménage s'était relevé et a vu l'aspirateur. Elle à fait un clein d'oeil à la mère.
"Belle pièce. 1200 watts?"
La mère lui a sourit.
"1400".
"Ah quand même", avec les mains sur les hanches.
Quand deux femmes touchent un aspirateur neuf, ça déforme l'espace-temps, une sorte de truc à la Einstein.
Jvais pas vous faire un dessin, elles sont devenu lesbiennes.
En général ça casse pas trois pates à un canard, mais là l'un d'elle était femme de ménage, donc automatiquement ça démultiplie l'effet.
Et la c'est devenu étrange.
Josetta et Marie-Ange se regardaient tendrement dans les yeux, chacune une main posée sur le Dyson encore emballé.
Pupute et moi on était figé, on observait tel des mecs en safari devant un troupeau de lionnes.
Les deux femelles se mirent soudain à arracher férocement l'emballage de l'aspirateur à grand coups de dents. Le pauvre carton ne fit pas long feu, et l'objet fut bientôt à l'air libre.
Josetta et Marie-ange caressaient et léchaient le Dyson, qui devint luisant avec la salive.
Un chose menant à une autre, deux minutes plus tard, Josetta et Marie-ange se caressaient et se pêchaient mutuellement.
Pupute était tout excité.
"Petit, remet toi à la barre."
"Oui mon capitaine".
Muni du pied de table, je poursuivis mon excavation du derrière de Jean-Paul.
Pendant ce temps Josetta doigtait férocement la chatte de Marie-Ange, qui pour la stimuler lisait à voix haute la notice du Dyson.
"Avant mise en marche.... ooooh ouiiii.....dérouler le câble jusqu’au trait rouge..... oooh Josetta.....Les fines particules de poussières comme le plâtre....ouuuuh...mmmmh....Si l’aspirateur est utilisé dans un garage...OOOOhh JOSETTAAAA....bien essuyer après utilisation la semelle..... des roues..... mmmmh.... avec un linge sec......OOOOh"
Les deux équipes étaient séparées d'à peine deux mètres, et à chaque coup de pied de table, à chaque coup de poings (elles en étaient au fist), on se rapprochaient un peu plus.
Cinq minutes plus tard, la fusion avait lieu.
C'est partit dans tous les sens.
On était vraiment proches, dans une main j'avais le pied de table, dans l'autre j'avais un des nichons de Josetta, qui fistais Marie-Ange et me branlait en même temps. Marie-Ange, elle, roulait des grosses pelles baveuses à Jean-Paul.
Tout le monde gueulait son plaisir, tout allait pour le mieux, tout n'était que poésie, chocolat et crème fraiche, quand tout à coup, à mon grand désarroi... j'ai triplé.
Triplé. J'ai éjaculé, vomi, et chié en même temps. Putain j'avais honte.
Marie-Ange a essayé de sauver l'ambiance en léchant mon vomi, mais ça l'a fait vomir aussi la conne. On s'est tous calmé, il fallait qu'on parle.
"Je suis désolé, je sais pas ce qui m'a pris."
"C'est pas grave, ça arrive aux meilleurs."
"Ahh y'a tout qui se mélange"
"J'ai du vomi plein de dos"
"C'est qui qui va nettoyer tout ça?"
"Josetta tu peux enlever ton bras de mon vagin maintenant"
"À babord, moussaillon!"
"Ta gueule Pupute."
Échelon 9.
"On a qu'a utiliser l'aspirateur"
"Bonne idée !"
Mauvaise idée.
"Bon, qui passe l'aspi?"
On a tous regardé en l'air l'air de rien. Moi je jouais avec mon zizi.
"Levez la main ceux qui sont femme de ménage!"
Josetta fut la seule à lever la main. Tout le monde la désigna pour nettoyer.
"Hors de question, je nettoie pas le caca quand il est hors de cette pièce", en désignant les toilettes. "C'est pas dans mon contrat". Avec un air tout frivole. Connasse.
Pupute et moi on s'est regardé.
"Tu pense à la même chose que moi?" je lui chuchote.
"Ouai. Il reste trois pieds de table à scier."
"Putain Jean-Paul !!"
"Ah, désolé."
Je lui expliquais mon idée de tout aspirer et de verser le reservoir un peu partout dans les toilettes. D'une manière ou d'une autre, elle allait mériter son salaire la salope.
Marie-Ange c'était pas pareil, elle était pas femme de ménage. Du coup on lui a dit d'aller faire des sandwichs, on avait un ptit creux.
Josetta s'est assise sur le canap et s'est mise à lire un Closer, qu'elle avait sortit de nulle part.
"Comment elle a fait ça?"
"Je pensais que c'était une légende... je suis jamais là quand elle vient travailler..." me répondis Jean-Paul.
Bref, on était deux hommes, et un aspirateur.
"Comment ça marche ce truc?"
"C'est ce bouton".
"Mais non c'est celui là regarde. Ah non ça fait rien".
"Attend, y'a comme un système ici. Tu vois ça se rejoint."
"Elle est où la notice?"
"Marie-Ange a vomi dessus"
"Ah, merde."
"Ouai y'en a aussi"
Josetta s'est tapé un fou rire derrière son canapé.
"TA GUEULE Josette !"
"Ouai fermes-là, remplis ton cerveau avec ton magazine de merde"
"Sérieusement arrête de dire merde déjà l'odeur c'est de trop..."
"Désolé Pupute, je comprends ta sensibilité."
"Tu te moque de moi là? Je suis pas sensible ok?"
"J'oserai pas, avec ton cul dilaté et ton micro-pénis t'es déjà assez touché par la vie. Regarde, même l'aspirateur a pitié de toi."
Comme un con il a regardé l'aspirateur. Josetta en pouvais plus, elle était plié en 5.
"Arrêtez... j'ai mal au ventre... je crois que j'ai fait un peu pipi dans ma culotte!!"
"La pisse sur le canap, c'est pas dans ton contrat non plus je suppose?"
Elle pouvait pas parler tellement elle pétait de rire. Elle a juste fait non de la tête.
Jean-Paul s'était redressé d'un coup, en mode Général homosexuel bafoué. Sa fierté d'homme était touché.
"Premièrement, mon cul, c'est toi qui l'a dilaté..."
"T'as pas beaucoup résisté."
"DEUXIEMEMENT, j'ai fourré pas mal de dindes avec ce gourdin, et elles avaient mal à chaque fois."
Marie-Ange : "Pardon?"
"Jambon-beurre-cornichon ma chérie. Reste concentré".
"Désolé mais vu d'ici c'est pas flagrant", je continais.
"Pas flagrant? Donne moi le tuyau du Dyson, mes couilles sur ton front que ça rentre pas."
"Tenu."
Mauvaise idée Pupute.
Forcement ça rentrait. Mais Jean-Paul voulait pas l'accepter. Il continuait à l'enlever et le remettre dedans. Il pouvait pas avoir tort sur sa bite à la fois devant sa femme, et sa femme de ménage.
"Bordel, mais bordel, forcement aussi avec l'odeur ambiante ça met pas en condition"
"Jean-Paul... tu te fais du mal... allez... on arrête là, on va dire que je t'ai eu au tirs au but, c'est pas vraiment une victoire."
Jean-Paul poussa un soupir.
"Enfin même si techniquement j'ai gagné. Avec les points. Mais c'est pas vraiiiiment une victoire. Même si j'ai gagné."
"Oh putain alors toi tu va voir, attend un peu que j'ai une érection junior"
Il était repartit de plus belle, même avec ma porte de sortie fairplay.
A ce moment Marie-Ange (qui avait terminé les sandwichs hein, faut pas déconner), s'approcha.
"Ben, évidement ça marche pas, vous l'avez pas branché."
"NaaaaAAAAAnnnnnn Maaaarrriiiiiiieeeee-Aannnnnnggggeeeee"
J'avais plongé mais pas assez loin pour stopper le ballon. Avec une rapidité défiant les lois de la physique, elle avait branché l'aspi qui s'était mis en route.
On va faire une minute de silence pour la bite de Jean-Paul.
Vu la taille du bordel 3 secondes suffisent en fait.
Jean-Paul poussa un cri et agrippa violemment le tuyaux, qui pompait sa reine d'Angleterre comme une grosse sangsue.
"DEBRANCHE MARIE ANGE !!!!"
"Techniquement le Dyson est en train de ramener le sang de ton corps vers ta bite. Elle va être énorme."
"DEBRANCHE PAS CONNASSE !!!! SEEMS LEGIT !!!!"
"Ok reste calme, pense à autre chose, on va la laisser gonfler un peu et dès que tu commence à pâlir on débranche."
Décidément cette journée là on avait pas la lumière dans toutes les pièces...
https://www.youtube.com/watch?v=MUSGR-59I4M
"Marie-Ange, appelle une ambulance".
On posé Jean-Paul en PLS dans un coin, et je suis retourné à l'aspi pour aspirer la merde-chiasse-sperme-mouille-vomi.
J'étais tranquille dans mon truc, Josetta et Marie-Ange supervisaient. Je leur avait rien demandé.
"Ouai, mais en fait si tu le tiens plus comme ça..."
"Oublie pas ce coin là"
"Tu veux pas qu'on te montre vite-fait?"
"Avant-arrière, sur les côtés c'est pas efficace"
"Avec cette position dans 5 minutes tu aura mal au dos"
"Il passe vraiment l'aspi à la hollandaise"
"La hollandaise, et encorne, on est pas loin de l'arc-en-ciel là !! hahaha ! "
Elles ont rigolé toutes les deux bras dans les bras. Moi les blagues d'aspirateur, je connaissais pas. Je savais même pas que ça existait. J'ai jamais participé à une coupe du monde d'aspirateur. Je me sentais seul.
J'ai supporté en silence, je pensais à ma vengeance qui approchait. Le moment venu, je me glisserait dans les toilettes, et je déverserait le contenu du réservoir un peu partout. J'utiliserais même mes mains pour en étaler sous la cuvette. J'étais prêt à faire ce sacrifice, pour Pupute, qui gisait dans un coin, son monstre du loch ness à l'air.
Mais pour ça il fallait que je détourne l'attention des deux meilleures-amies-d'un-jour. Sur ça j'ai eu un coup de génie.
"Dites moi les filles, y'aurait pas comme une tache de vieux miel collé sur le plan de travail de la cuisine?"
Elles se sont précipités pour aller voir. Un pas vers les toilettes.
"Mais nan y'a rien, qu'est-ce que tu racontes?"
"Mais si, regardez mieux. Ça doit pas dater d'hier, c'est collant et presque transparent".
Un autre pas vers les toilettes.
"Tu vois quelque chose Josetta?"
"Rien du tout, occupe toi du côté droit, je prends le gauche"
Un pas vers les toilettes. j'étais dans les toilettes. Je détachais prudemment le réservoir.
"Nan vraiment, il y a rien. Où tu es passé toi?".
Putain, j'entendais les bruits de pas, jallais me faire griller.
"Euhh... tient tout à leur j'ai ouvert le four et j'ai cru y voir un sac Louis Vuitton neuf édition limitée"
J'étais allé trop loin, mais ça leur avait quand même pris le temps de retourner au pas de la cuisine pour piger que c'était du flan.
Moi je commençais à déverser.
La première goutte de merde avait à peine touché le sol que Josette m'arrachait le reservoir des mains.
Elle avait tout compris. Elle était face à moi, le bac de merde tenu bien en hauteur. Elle me regardait furieusement. Marie-Ange, elle, pleurait à sanglot devant le four.
"Josetta... on peut discuter... fait pas ta pute Josetta. Josetta fais pas ta pute. JOSETTA SERIEUSEMENT"
"Petite merde."
"Ça tu l'a fait exprès."
"TA GUEULE. J'en ai ras la serpillère de me faire traiter comme une prolo."
J'essayais de l'amadouer avec des gestes lents et des paroles douces.
"Mais Josetta... tu ES une prolo... tu viens de faire un jeu de mot sur le ménage sans même t'en rendre compte..."
J'entendis Jean-Paul glousser au loin. Il était encore en vie.
"Je t'emmerde !!!"
"C'est justement ce qu'on essaye d'éviter Josetta."
"DONNE MOI UNE BONNE RAISON DE LE FAIRE !!!"
"Tout va bien se passer... tu va poser ce bac de chiure, et on va discuter... Pupute te donnera une semaine de congé payé..."
Je commençait à la tenir.
"... tu va partir avec tes gosses dans un camping deux étoiles prêt du Havre..."
Je la tenais un peu plus.
"... Pendant que ton mari déjà divorcé deux fois préparera les knackis au barbeuc et les tartines de ketchup, les mioches se baignerons dans l'eau sale du port... Ils auront plein d'huile de bateau dans les cheveux..."
Son regard s'adoucissait et se faisait lointain. Je la possédais. Elle était mienne.
"Tout... tout frais payés?"
"Oui Josetta. Sauf les knacki, je finance pas des knacki tu comprend?"
"Oui... ça parait raisonnable..."
"Regarde, je te mens pas..."
J'avais fait glisser un billet de 5 de ma poche, qui avait un peu virevolté comme une plume de colombe avant de toucher le sol.
"Tu vois ce billet? il est pas à moi. Il est pas à Marie-Ange. Il est pas à Pupute. Devines à qui il est."
"Je.... je sais pas..."
"A TOI Josetta, a TOI. 5 euros."
Elle me lança un air méfiant.
"Ça fait combien en francs?"
Putain quelle conne. Sur le coup j'ai failli la baffer. Mais elle avait le reservoir de merde, elle avait donc encore l'avantage.
"Ça doit faire dans les 30 francs."
Elle frétilla comme un hamster qu'on venait de doigter. C'était abjecte.
Elle s'apprêtait à poser le bac pour agripper le billet.
Quand tout à coup Marie-Ange se mis à crier depuis la cuisine.
"HIIIIIIIIII J'AI TROUVÉ LE VUITTON !! IL ETAIT DANS LE LAVE-VAISSELLE !!!"
FDP elle l'a trouvé. Je comptais l'offrir à sa fille, faire une belle surprise du genre "débarrasse la vaisselle, tu va être sur le cul". Mais vu qu'elle m'avait largué quelques minutes avant, je l'aurait bien revendu.
Forcement la nouvelle avait capté l'attention de Josetta, et j'en profitais pour lui puncher le bide et récupérer le billet.
"TOUCHE PAS À MON BIF SALOPE"
Josetta c'était une bonne jument, elle avait enfanté 4 fois, et son bide était résistant comme les croûtes de peau sous ses pieds. Elle se rétablit en 2 secondes de mon coup, agrippa le bac et me le versa sur la gueule.
Même qu'elle a remué pour la petite goutte.
Depuis ce jour je regrette d'avoir pensé comme un prolo. Je me suis fais tatouer sur le bras : "Prends le bac de merde, pas le bifton". Ça me permet de me remettre en question quotidiennement, et comme ça la prochaine fois que je serait face à cette situation, je jetterais un oeil a mon bras, et je prendrais la bonne décision.
Une fois nettoyé, j'ai foncé à la bibliothèque la plus proche pour consulter un RUCS (Règles Universelles du Caca en Société).
En sueur, feuilletant frénétiquement les pages de l'ouvrage, je tombais des nues, et je chuchotait: "Et merde."
La règle n°4390 indiquait clairement, que, même indirectement, depart la gestuelle et les aspects techniques, et puisque perpétré de façon intentionnelle, la femme de ménage m'avait chié dessus.
FIN
Dernière édition par Louison_Nagant le Jeu 8 Oct - 0:42, édité 1 fois
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Dernière d'Epolka
Ma prof d'anglais s'est chié dessus...
- Spoiler:
http://www.noelshack.com/2014-39-1411644259-wallmanga-wallpapers-petit-spirou-0018.jpg - Voilà le genre.
A la fin d'un cours je reste après tout le monde, elle voulait me parler de mon comportement en classe, le blabla habituel genre "Tu gâche ton potentiel gnagnagna".
On était debout à côté de la fenêtre, je regardais les voitures passer dehors.
Et puis petit à petit elle a commencé à balbutier et à rougir, elle m'a dit "On en reparlera, va rejoindre tes camarades".
Seulement j'arrivais à peine à la porte que je stoppe net. Elle venait de lâcher un gigantesque pet résonant. Le pet qui annonce la couleur. La couleur marron.
Là je me suis dit "Est-ce que je la joue fair-play, je me casse et on oublie, ou bien est-ce que je me retourne pour l'enfoncer?". Allez, on va la jouer bon-vivant.
Mais là, un deuxième pet, deux fois plus intense que le dernier. Je me retourne. Elle était debout, figée comme une pancarte, rouge comme une tomate.
"Oui? Autre chose? J'ai du travail à terminer, tu peux sortir maintenant"
Je l'ai regardé genre "Mouai. Je vais être sympa pour cette fois. Mais pousse pas le bouchon quand même".
Je suis resté la regarder quelques secondes. Elle semblait paralysée, et me fixait avec de grands yeux affolés, muette. Et puis elle a poussé le bouchon.
J'ai d'abord vu l'urine lentement conquérir ses collants, tel Napoleon avec l'Europe. Elle tremblait. Le liquide a dégouliné jusqu'à ses chaussures à talon, pour ensuite former une petite flaque au sol. Elle commençait à sangloter nerveusement.
J'en croyais déjà pas mes yeux. Mais le meilleur était à venir.
Ça a continué avec des pets, toutes sortes de pets, fuyants, bruyants, sifflants, elle se penchait légèrement en avant ses jambes recroquevillées et ses deux mains sur son ventre. J'aurai pu tenir une baguette de chef d'orchestre et agiter mes bras pour donner le tempo. Et puis il y a eu le pet atomique, et le grand final.
Un chiasse torrentielle. Une explosion de caca verticale, accompagnée de son cri de soulagement "HHaaaaaannnnnnnnoooooohhhhouuuuuuuuu".
A demi-accroupie, ses bas souillés par la merde, elle était essoufflée comme une ânesse qui venait d'enfanter. Elle relevait doucement les yeux vers moi, le regard plein de d'espoir.
Et puis elle remarqué mon erection, et tout cet espoir c'est envolé. J'ai balancé mon bras en arrière et la porte de la salle s'est fermée dans un CLAC. Elle a baissé le regard.
Je savais pas ce qui allait se passer, mais je savais que ça allait se passer.
"Est-ce que tout va bien, madame?"
J'ai réfléchis très fort à ma vie, mes opportunités, mon moi intérieur, le karma.
Je me suis dit "C'est un test de la vie. Comporte toi en parfait gentleman, et la vie te le rendra"
Je l'ai consolé. J'ai fait le guet devant les toilettes pendant qu'elle se nettoyait. Je lui ai trouvé de de quoi passer la serpillère dans un débarras, et pendant qu'elle le faisait, j'ai même trimbalé sa culotte et ses collants souillés dans un sac plastique pour les jeter dans une poubelle de la rue d'en face. Puis je suis retourné dans la classe.
Elle avait lavé ses chaussures, et sa jupe qui n'avait été que partiellement touchée grace à la verticalité étonnante de sa chiasse. A moins de remarquer qu'elle ne portait plus de collant, il était donc difficile de découvrir le pot aux roses.
Elle m'a remercié, on a échangé deux ou trois banalités, et je me suis précipité au self pour manger. J'ai inventé une excuse bidon pour ne parler à personne de cette histoire.
L'après-midi, on avait une deuxième heure d'anglais. J'étais assis tout devant juste en face de son bureau. J'étais le seul élève dans la classe à savoir qu'elle ne portait pas de culotte.
A la fin du cours, tout le monde s'est précipité dehors, moi je suis resté assis, prenant un temps inconsidéré pour ranger les crayons dans ma trousse.
Et puis tout a coup elle s'est éclaircie la gorge, comme pour attirer mon attention. Elle ne me regardait pas, assise a son bureau, elle prenait des notes sur je-ne-sais-pas-quoi.
Doucement, elle a écarté les jambes sous le bureau. J'ai vu la lumière, et dans ma tête, ça a fait un peu comme ça: https://www.youtube.com/watch?v=vtLYJ4STuXY
Toujours sans faire attention a moi, elle passé une main sous la table, et s'est mise à caresser son miaou avec un stylo.
J'ai accepté l'invitation, sortit mon chibre et j'ai doucement commencé à me caresser le gland.
Un silence de plomb régnait dans la pièce, et je me disais dans ma tête "fait moi ce cadeau, allez, fais moi ce cadeau...". J'étais au 5ème galop, j'astiquais comme jamais je n'avais astiqué.
Et elle m'a fait ce cadeau. Elle a passé le stylo dans sa bouche comme une sucette, et l'a enfoncé d'un coup dans son vagin, en lâchant un petit miaulement, l'air de rien. Et elle a continué.
3 minutes plus tard, J'ai juté sous ma table avec violence, les yeux rouges, avec la salive au bord des lèvres, en poussant un râle sourd.
Une fois la tempête passée, j'ai rangé mes affaires (y compris mon pénis), agrippé mon sac sur mon dos, et alors que je passais près de son bureau, elle m'a prit pas le bras, a glissé quelque chose dans ma poche et m'a lancé un regard profond, qui voulait dire "Ça c'était pour tout à l'heure. Maintenant nous somme quitte."
Au final, on a pas échangé un mot. Je suis sortit et suis resté en état de choc pendant des heures.
Une fois chez moi, je me suis souvenu, et j'ai fouillé ma poche.
J'ai ouvert de grands yeux et suis resté bouche bée.
Le stylo, encore humide.
Merci la vie.
Dernière édition par Louison_Nagant le Jeu 8 Oct - 0:43, édité 1 fois
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Re: Les histoires du 15-18 & du 18-25
Lorsque le mec appelle son beau-père "Pupute"
Les discussions autour de l'aspirateur
Les discussions autour de l'aspirateur
Louison_Nagant- Monsieur le Marquis
- Messages : 704
Date d'inscription : 17/03/2015
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum